"Mais l'âge fuit, et le tems coule, / Le fleur, comme l'herbe, pâlit; / Et le fleuve pompeux, qui roule / Au loin dans un superbe lit, / Qui voit ses flots renaître en foule / Dans les valons qu'il embelit, / Comme l'humble ruisseau s'écoule, / Et dans la mer s'ensevelit, / Mes ans, mes jours auroient leur termes".
Guymond de la Touche, Les soupirs du cloître, ou le Triomphe du fanatisme. Épître à M. D. M., Londres 1766.