Ella non è molto esatta, ma stabilisce delle infallibili verità nel biasimare gl'italiani che troppo generosi sono stati ad aprire degli asili ove l'ozio, e l'infingardaggine ottengono un ricovero. Per esempio (p. 14) dicesi: "on ne trouvera presque pas de ces établissement un peu remarquables qu'il n'ait fallu successivement aggrandir et doter de nouveau, soit qu'ils attirent les pauvres, soit qu'ils les multiplient, soit qu'ils ne remédient aucunement au mal". Vi si loda la Toscana. Parlando infatti dell'Italia, e dicendosi che ha delle terre eccellenti si soggiunge, p. 19 : "Ella a des provinces, la Toscane, par exemple, dont le territoire est couvert de fermis, et de villages bâtis en pierre et en brique. Il s'y trouvre des paysans si laborieux qu'on en voit travailler au clair de la lune, et qu'on dit en proverbe qu'"ils mangent des pierres". Il est heureux que des circostances particuliers les ayent garantis de la contagion commune, et de les effets". È rimarcabile a p. 21: "Je cerche en Italie, je cerche dans toute l'Europe des fondations